Homme de terrain, il parlait aux abeilles, les caressait; elles semblaient apprécier son calme et son doigté. On dit qu’il aimait les abeilles presqu’autant qu’il aimait Dieu.
[Dans : The Economist, 14 Sept. 1996]
Son opinion sur l’abeille et l’apiculture était très circonspecte :
« Bien qu’elle (l’abeille) possède un don merveilleux d’adaptation, on ne saurait méconnaître impunément son organisation vraiment magnifique, ni ses instincts immuables.
Une des toutes premières tâches de l’apiculteur doit être d’étudier les comportements de l’abeille et de s’y adapter lui-même, s’il souhaite réussir.
Pour qu’une méthode soit couronnée de succès, elle doit être continuellement adaptée aux différentes conditions de climat et de miellées, ainsi qu’au genre de ruche utilisé, et bien sûr aux particularités de l’abeille elle-même. »
Extrait de l’Avant-propos et le Début de l’édition française de "Ma Méthode d’Apiculture".